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Barroso nous ment
16/09/2011 10:18
Plusieurs fois, José Manuel Barroso,et aussi d'autres responsables de l'Union Europeenne, mais également des chefs d'Etats européens, à commencer par Sarkozy 1er lui même, nous ont seriné qu'il était impossible pour un état de quitter l'UE.
MENSONGES !!!
L'article 50 du traité de l'Union Européenne stipule le contraire ! (voir le texte ci aprés). Une fois encore ces technocrates et politiciens essaient de nous enfummer n'hésitant pas à mentir en niant s'il le faut leur propre traité.
Article 50 du Traité sur l'Union Européenne
1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l'Union.
2. L'État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l'Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l'Union. Cet accord est négocié conformément à l'article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. Il est conclu au nom de l'Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d'être applicables à l'État concerné à partir de la date d'entrée en vigueur de l'accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l'État membre concerné, décide à l'unanimité de proroger ce délai.
4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l'État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l'article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne.
5. Si l'État qui s'est retiré de l'Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l'article 49.
Voilà tout est dit !
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Europe : le fédéralisme, un plan B illusoire
15/09/2011 18:34
Face à la crise de l’euro, certains en appellent au «fédéralisme budgétaire». Mais à quoi exactement cela fait-il référence, s’interroge Marie-Françoise Bechtel* pour qui ce plan B n’est qu’une illusion.
Crise de l’euro aidant, l’été se montre propice à une véritable fièvre de l’intégration européenne . Il ne se passe plus de jour qu’économistes, politiques, essayistes, journalistes n’en appellent au « fédéralisme » aujourd’hui devenu « budgétaire ». Ni le peu d’envie de l’Allemagne dont la réussite historique lui permet de se passer de l’Europe de Jean Monnet, ni la faible appétence des peuples pour les institutions de Bruxelles n’y font rien. Hors du « fédéralisme budgétaire », hors du « plus d’Europe » – Europe intégrée s’entend – il n’est point de salut.
Qu’exprime au juste ce retour quasi obsessionnel vers l’intégration à la mode de la fin du siècle dernier , fondée sur l’idée que l’Europe sera fédérale ou ne sera pas ? Est-ce le fait du malade qui continue d’accorder sa confiance à une médecine dont il espère qu’elle finira par faire ses preuves ? L’entêtement historique d’un européisme doctrinal, identitaire, qui se saisit de la crise pour essayer de reprendre le pouvoir sur une conscience populaire dévoyée? Faut-il y voir une certaine paresse de l’esprit à inventer des solutions nouvelles, à s’adapter au réel ? Ou tout simplement le « fédéralisme budgétaire » n’a-t-il pas pour principal mérite de donner à penser que « plus d’Europe » c’est d’abord plus de discipline libérale ? Signe des temps, le respect du pacte de stabilité de 1998, que les institutions bruxelloises n’ont pu réaliser, ce sera aux Etats de l’assumer et ils devront le faire par une entente hors traité qui mettrait en place les moyens de la discipline budgétaire. Intégration, donc, mais pour un objectif approuvé par l’Allemagne. Les résultats de la rencontre du président français et de la chancelière allemande du mois d’août le confirment d’ailleurs : même si le terme de « gouvernement économique » envoie un signal positif, son absence de contenu saute aux yeux.
Tout cela au fond ressemble à s’y méprendre à un plan B. Là où les traités européens ont échoué, on inventerait des solutions par accord entre quelques pays membres. Mais ce plan B ne serait possible que s’il a pour visée exclusive la discipline financière ce qui ne saurait se faire que par la voie de l’intégration, autrement dit d’un pouvoir de contrainte supranational.
Seraient donc a priori disqualifiée toute visée nouvelle qui passerait par le redressement économique de l’Europe, en vue même d’assurer l’équilibre futur des finances des pays de la zone euro . En d’autres termes , un plan B qui créerait enfin un gouvernement économique de la zone euro s’appuyant sur une BCE aux pouvoirs rénovés, tenue par un impératif de croissance et non de pure stabilité serait impossible en raison de son contenu même. Aucune volonté de cette nature, serait-celle de l’« Europe politique » parfois invoquée par le président de la République ne se discerne en effet aujourd’hui.
Quant à la méthode, celle de la coopération interétatique, on comprend que dans la vision fédéraliste, c’est un mal nécessaire et que le recours ne s’en justifie que par la fin : davantage de discipline, davantage d’intégration. Toute autre fin serait condamnable. Ne lit-on pas ainsi sous la plume d’une députée européenne (Sylvie Goulard, Le Monde du 12 août) la docte considération selon laquelle la coopération entre Etats ne serait pas démocratique car leurs gouvernements ne disposeraient pas d’un mandat touchant les questions européennes ?
En somme, un gouvernement démocratiquement élu ne pourrait engager à quoi que ce soit un peuple dont il procède, mais ce même gouvernement pourrait remettre ses pouvoirs à une instance « intégrée » que ces mêmes peuples n’auraient aucun moyen de contrôler…
La vraie question est au fond de savoir si le fédéralisme européen a encore un sens au 21ème siècle. C’est affaire de forme et c’est affaire de contenu. La forme juridique de l’Europe ne peut aller plus vite que l’histoire. Il est donc parfaitement vain de vouloir une Europe fédérale tant que n’existera pas un peuple européen, peuple qui fait aujourd’hui défaut comme l’ont constaté chacun à sa manière la Cour constitutionnelle de Karlsruhe et le Conseil constitutionnel français.
Quant au contenu, une Europe qui renoncerait à un minimum de politiques économiques communes – et, d’abord, compatibles – qui déciderait de condamner ses peuples à l’austérité, à la remorque d’une Allemagne qui ne voit pas à plus de dix ans : si tel est le visage au 21ème siècle d’une intégration qui semble garder pour nos élites tant d’accents enchanteurs, craignons ce que sera l’« avenir d’une illusion ».
* a été directrice de l’ENA et est vice-présidente du Mouvement républicain et citoyen
http://www.gaullisme.fr/2011/09/02/europe-le-federalisme-un-plan-b-illusoire/
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Soutien de France Bonapartiste
15/09/2011 15:54
Fidèle à sa parole, France Bonapartiste apportera (et apporte) tout son soutien à NDA ...
David Saforcada, Secrétaire général de France Bonapartiste
Je suis en quelques lignes :
Originaire de Villeneuve de rivière (31), la majorité de ma famille y demeure encore.
engagé volontaire au 3ème Régiment d’Infanterie de Marine, je suis titulaire de la Croix du combattant, du Titre de Reconnaissance de la Nation, de la médaille Outre Mer, de la médaille de Défense Nationale Argent et autres décorations.
c’est en 1999, de retour dans la vie civile, que je me lance en politique. A compter de cette date, bonapartiste et fier de l'être, je suis de tout les combats visant à défendre une certaine idée de la France, sociale et patriote.
- 2000 : un des membres fondateurs de France Bonapartiste
- 2002 : soutien à la candidature présidentielle de Jean-Pierre Chevènement
- 2004 : candidat bonapartiste aux élections cantonales sur le canton de Saint Gaudens
-2005 : participation active au NON à la constitution européenne. nommé Secrétaire Général de France Bonapartiste
- 2007 : rejoins DLR (tout en gardant ses fonctions au sein de France Bonapartiste, mouvement « associé » à DLR)
- juin 2007 : candidat de France Bonapartiste / DLR aux élections législatives sur la 8° circonscription de Haute-Garonne.
- de 2000 à aujourd’hui: participe à toutes les actions visant à faire avancer le bonapartisme, participe à toutes les campagnes de terrain France Bonapartiste et DLR (élections européennes, élections régionales, etc …)
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Crise: des présidentiables au chevet de l'euro
15/09/2011 08:08
Ils sont quatre, réunis en cette matinée du 14 septembre dans une salle de travail de l’Assemblée nationale. Quatre hommes politique de tous horizons, rassemblés à l’appel de l’association « Manifeste pour un débat sur le libre-échange » afin d’examiner les ressorts de cette crise économique et financière qui n’en finit plus de secouer l’Europe.
Aux côtés du radical François Loos, ancien ministre, figurent trois candidats à l’élection présidentielle de 2012 que rien, a priori, ne devait conduire à se rapprocher. Et pour cause : venus d’horizons différents, ils ont également adopté des stratégies fort dissemblables. L’un, Arnaud Montebourg, est membre d’un grand parti, où il essaye de faire entendre sa petite musique démondialisatrice, en se portant candidat aux primaires. L’autre, Jean-Pierre Chevènement, a quitté ce même parti socialiste il y a fort longtemps. Il envisage aujourd’hui une « candidature pédagogique », dans le but de « faire bouger les lignes ». Le troisième, Nicolas Dupont-Aignan, tourna le dos à l’UMP en 2007, pour ne pas écorner ses convictions gaullistes. Il portera en 2012 les couleurs de son mouvement, Debout la République.
Le colloque débute par une mise en bouche : quelques exposés d’économistes tels Jean-Claude Werrebrouck, Jean-Luc Gréau, ou Hervé Juvin. Ils commentent un sondage IFOP réalisé à la demande de l’association organisatrice. Cette enquête, d’abord menée en France, puis prolongée en Allemagne, en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni, offre un verdict inattendu : les européens sont protectionnistes. A l’exception des Anglais, plus de 70 % des sondés sont favorables à l’augmentation des droits de douane aux frontières de l’Europe. Ce chiffre atteint même 80% du panel français.
Ce sondage traduit les inquiétudes de très nombreux européens quant aux effets de la mondialisation marchande. Mais lorsqu’interviennent à leur tour les trois présidentiables, c’est d’abord sur le terrain de la globalisation financière qu’ils se placent. En effet, cependant que les marchés s’affolent et que tous les regards convergent vers la Grèce, un diagnostic s’impose : nous traversons actuellement une crise de la dette, qui est également une crise de l’euro. Car cette monnaie dramatiquement surévaluée ruine notre compétitivité, affecte nos exportations et favorise les délocalisations. Sur ce point, Chevènement met en garde : « pas plus que l’arbre ne doit cacher la forêt, la question de la Grèce ne doit occulter le problème de l’euro ».
Pour sauver l’euro, Arnaud Montebourg s’est déjà prononcé pour une « monétisation de la dette » : il est favorable au rachat, par la Banque Centrale Européenne, de titres de dette des pays en grande difficulté. Une monétisation massive aurait notamment pour effet de dissuader la spéculation. Mais il semble désormais bien difficile d’aller au-delà des rachats de dette espagnole et italienne réalisés cet été par la BCE. Les allemands y sont globalement défavorables, et le seuil de tolérance de certains de leurs responsables semble désormais atteint. En témoigne la récente démission du chef économiste allemand de la Banque centrale, Jürgen Stark. Déjà en février, un autre allemand, Axel Weber, avait décidé de renoncer au remplacement de Jean-Claude Trichet, pour lequel il était pressenti.
Faute de solution, la monnaie européenne serait-elle donc vouée à disparaître, alors que se murmure l’hypothèse d’une sortie de la Grèce, qui ne manquerait pas d’entraîner à sa suite d’autres pays en quête d’oxygène, tels le Portugal, l’Irlande ou l’Espagne ?
Jean-Pierre Chevènement et Nicolas Dupont-Aignan l’entendent d’une autre oreille. Car si la création de l’euro fut à leurs yeux une erreur, celui-ci existe bel et bien, et il serait très incertain politiquement de prôner l’abandon de ce que d’aucuns considèrent comme la réalisation majeure de l’Union européenne. L’un et l’autre se rejoignent donc pour défendre la mutation de l’euro en monnaie commune. Au lieu d’imposer un carcan à des pays économiquement très hétérogènes, cet euro adapté constituerait ce que Chevènement appelle « un toit européen commun », autrement dit « une devise européenne constituée d'un panier de monnaies nationales qui pourraient fluctuer dans certaines marges négociées ». Et Dupont-Aignan d’ajouter non sans audace qu’une telle mue de l’euro, loin de conduire à des sorties intempestives de l’eurozone permettrait à des pays non membres…d’y entrer !
Réunis aux côtés d’économistes de toutes obédiences, des candidats de droite et de gauche à l’élection suprême mettent un instant de côté leurs divergences, et parviennent à faire surgir des points d’accord inattendus. Quand d’autres, au sein d’une même famille politique, et parfois d’un même parti, s’invectivent pour des vétilles, il serait regrettable qu’ils ne soient pas entendus.
A l’heure où fleurissent des rumeurs concernant le rachat d’une partie de la dette italienne par l’empire du Milieu, il serait saumâtre que, pour ne pas avoir à écouter la supplique de la « conjuration des hétérodoxes », nous préférions nous vendre à la Chine.
Coralie Delaume
Lire ou relire : Lorsque Jacques Sapir propose la démondialisation CLICK Chevènement-Montebourg : pas de divergence CLACK
http://l-arene-nue.blogspot.com/
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Martine Aubry met fin à une interview en direct
11/09/2011 14:00
Interrogée par BFM TV sur la mise en examen de Jean-Noël Guérini, la candidate à la primaire socialiste a quitté l’antenne.

Martine Aubry, visiblement agacée par une question portant sur la mise en examen de Jean-Noël Guerini, a préféré quitter le champ de la caméra alors qu’elle était interrogée depuis Berlin par BFM TV, jeudi 8 septembre.
Après s’être déclarée attachée au principe de la présomption d’innocence, “Ceci étant dit, à partir du moment où M. Guérini est dans une situation qui peut poser problème à son parti, je souhaite qu’il se mette en retrait (de celui-ci) comme de ses fonctions de président du conseil général”, a déclaré Martine Aubry.
Alors que le journaliste était sur le point de lui poser une nouvelle question sur la décision de justice, évoquant le premier secrétaire par intérim du parti, Harlem Désir, la candidate a retiré son micro et quitté l’interview.
Un peu plus tard de la soirée, la chaîne précisait que Martine Aubry lui avait fait savoir qu’elle pensait l’interview terminée en raison d’un décalage de son.
Le Nouvel Observateur
Et ça veut prétendre faire face aux problèmes que rencontre la Nation alors que ça a déjà du mal à affronter des interviews problématiques !
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